ICI du 18 février 2025. Déviation de Beynac : la chambre régionale des comptes chiffre à 63 millions d'euros le coût total du projet
"Dans un rapport rendu public ce lundi 17 février, la chambre régionale des comptes, saisie par les opposants, estime le coût total du projet de déviation de Beynac entre 41 millions, si le département détruit, et 63 millions, s'il va au bout du nouveau projet
La Chambre régionale des compte a donné comme recommandation au département d'attendre que tous les recours soient expurgés avant d'entamer d'éventuels travaux sur le nouveau projet de déviation."
Voilà ce qui arrive quand des élus voyous passent en force, n'attendant pas les décisions de justice pour lancer la réalisation de projets d'aménagement hors-la-loi. Ce sont les contribuables qui, en final, paient l'addition quand les projets sont arrêtés par la justice administrative et que les collectivités doivent remettre le site en état avant de repartir sur un éventuel nouveau projet.
Voilà ce qui pourrait aussi arriver au projet, bien avancé, de l'A69 dont la décision de justice est attendue pour le 27 février 2025 (voir article France Info de ce jour)
Jusquà l'éviction de Christophe Chabot et l'abandon du projet de port en 2021, c'est près de 10 millions d'euros qui ont été dépensés, à perte, par les collectivités locales (Bretignolles et Pays de Saint-Gilles) pour mettre en orbite et lancer la réalisation du projet de port de plaisance sur le site de la Normandelière. Ce sont des sommes considérables pour des collectivités locales, pourquoi les opposants ne demandent-ils pas à la Chambre Régionale des Comptes d'estimer le coût total, depuis 2003, du projet de port de Bretignolles pour les collectivités locales ? C'est le passif Chabot que les contribuables locaux ont dû combler. Et Frédéric Fouquet, son fidèle serviteur, parle de relancer la machine !!!
Newsletter de l'association de La Vigie de février 2025
Pour connaître l'histoire du port de Bretignolles :
- un nouveau blog a été créé : https://histoirebretignollaise.blogspot.com/
- un livre est en cours de rédaction
Excellente idée que ce livre.
RépondreSupprimerFélicitations Jean Yves
Bravo Jean-Yves.
SupprimerOn le verra peut-être en vitrine du célèbre Tabac-presse en face de l'église brétignollaise ??????
A quoi sert ce député?
RépondreSupprimerC'est toujours un grand plaisir de lire les écrits du spécialiste local du trait de côte, si on avait pas envie de pleurer...
SupprimerIl sert à rien sauf à voter des impôts et des règles qui nous empêchent de vivre.
SupprimerCe nouveau blog fera date lui aussi.
RépondreSupprimerC'est certain, l'histoire du port impossible est une une histoire qui fera partie de notre mémoire éternelle .
C'est l'histoire de la résistance brêtignollaise contre des élus indignes qui ont abusé de leurs fonctions, détourné l'argent publique oour construire une machine de béton et de fer qui leur aurait permis de s'enrichir, et prêts pour cela à détruire la côte et priver le peuple de son cadre de vie.
Ni oubli ni pardon et mémoire éternelle !
L'on se demande pourquoi cette Cour des comptes n'a pas recommandé d'inculper les dirigeants du département, au civil pour qu'ils indemnisent les contribuables, et au pénal pour qu'ils payent de lourdes amendes et fassent un long séjour en prison.
RépondreSupprimerSans la peur d'être punis par la justice, des élus osent tout.
Le blog Histoire brêtignollais avance bien. Il est passionnant.
RépondreSupprimerEt comme il est indiqué qu'il donnera lieu à l'édition d'un livre (quand l'histoire sera définitivement close ?) D'accord pour envisager une cagnotte !
SupprimerPersonnellement, je n'irai pas jusqu'à l'édition d'un livre. Mais si cette histoire Bretignollaise, marquant une époque, intéresse une personne ayant des talents d'écrivain, elle peut s'en accaparer, la modeler pour la rendre lisible et attractive et lancer une cagnotte pour l'éditer si elle le souhaite. Moi je ne revendique rien. Je suis bien sûr disponible pour apporter un soutien. mon adresse mail : normandeliere@neuf.fr
SupprimerC'est noté, ds l'immédiat je n'ai fait que lire ce qui est écrit plus haut: "un livre est en cours de rédaction". Affaire à suivre !
SupprimerAvec les procédés numériques et les imprimantes digitales l'impression d'un livre serait d'un coût minime. Et la diffusion via un site internet esr possible. Pour de petites quantités, un éditeur n'est donc plus nécessaire.
RépondreSupprimerUn des intérêts sera de déposer l' ouvrage à la Bibliothèque Nationale qui lui accorde son ISBN, ce quil'inscrit pour toujours dans la mémoire collective.
Le catalogue de la BN étant très lu, des chercheurs pourront étudier le cas Chabot et compagnie.