Site du ministère de la Transition Ecologique : Consultation publique sur le projet de décret établissant la liste des communes dont l’action en matière d’urbanisme et la politique d’aménagement doivent être adaptées aux phénomènes hydrosédimentaires entraînant l’érosion du littoral (9 au 29 mars 2022). Désignation des communes dont l’action en matière d’urbanisme et la politique d’aménagement doivent être adaptées aux phénomènes hydrosédimentaires entraînant l’érosion du littoral. Cette liste, prévue par l’article L321-15 du code de l’environnement, est élaborée après consultation des conseils municipaux qu'il est envisagé d'y faire figurer ainsi qu’après avis du Conseil national de la mer et des littoraux, du Comité national du trait de côte et du Conseil national d’évaluation des normes. Une consultation du public est également prévue.
Liste des communes candidates à la date d'aujourd'hui dans le projet de décret
119 communes adhèrent au processus légal, pas une du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie comme s'il n'était pas concerné par l'érosion du littoral et le recul du trait de côte, en particulier pour les communes de Saint-Hilaire-de-Riez et de Bretignolles-sur-Mer.
Les communes du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie n'adhèrent pas au processus légal pour de mauvaises raisons, elles veulent avoir plus d'informations (Ouest-France du 7 février 2022). En réalité, les maires des communes veulent garder la main sur l'aménagement du littoral, c'est particulièrement évident pour la commune de Bretignolles-sur-Mer avec son projet de port communal.
Il est un député que l'on n'entend pas beaucoup sur ce sujet entrant pourtant dans le cadre de sa mission nationale sur le recul du trait de côte, c'est Stéphane Buchou. C'est dire son influence au niveau local ! C'est Stéphane Buchou qui devrait expliquer aux élus de sa circonscription le pourquoi de cette liste et les convaincre. Pour votre information, Stéphane Buchou avait pris l'engagement de porter au niveau de la ministre de la Transition Ecologique le projet de classement de la côte Bretignollaise, au titre de son intérêt géologique, dans le cadre du SCAP (Schéma de Création des Aires Protégées), à ce jour promesse non tenue !
Petits Suppléments
Extrait Ouest-France du 16 mars 2022. Mobilisés pour la défense de la pêche à piedVoir la photo de la Dune aujourd'hui. L'érosion éolienne la dégrade progressivement et aucun projet immédiat de remise en état ou de consolidation n'est à l'ordre du jour à la municipalité de Bretignolles-sur-Mer.
La bête nuisible est toujours là !
RépondreSupprimerChabot agit toujours en actionnant son vieux réseau de relations :
- De Merceron, l'illustre ancien sénateur, qui aura marqué son passage par sa grande connaissance des affaires de l'Etat, en croyant qu'il était possible de négocier, comme sur un foirail, avec les services de l'Etat, la réalisation du port !
- A Stéphane BUCHOU, le plus incompétent des députés, qui promet, ne tient pas ses promesses, retourne sa veste et n'a qu'une chose dans sa ligne de mire :
Assurer la longévité de sa carrière politique !
Alors vous pensez que le retrait de côte, il s'en balance !
Les électeurs auront-ils un jour la maturité et l'intelligence de s'apercevoir que tous ces gens là sont des marioles et se foutent de leur gueule ?
C'est la préoccupante question que l'on peut se poser ?
Tous exclus !
RépondreSupprimerCe qui est intéressant, c'est d'observer dans quel état de crédibilité se trouve réduit le conseil municipal de Bretignolles, qui est exclus de toutes les instances décisionnaires de la com. com. et ce, de Fouquet et rabiniaux ( qui se donne pourtant toujours les apparences d'un intellectuel ! ) au dernier des conseillers municipaux !
Ils sont descendus bien bas et si bas, qu'au point où ils en sont ils vont peut-être découvrir du pétrole !
C'est affligeant ! et la question posée se résume à se demander pourquoi cette bande de marioles ne quitte pas la mairie. Ils préfèrent peut-être se victimiser ou se ridiculiser ?
L'une ou l'autre de ces solutions sera tôt ou tard préjudiciable à la commune !
Et dire qu'il faut attendre les résultats de BIOTOPE prévus aux calendes grecques pour envisager de s'occuper de la dune !
RépondreSupprimerAu point où on en est de l'urgence à remettre la dune en situation de protection il n'est pas nécessaire d'être polytechnicien pour savoir ce qu'il faut faire : remonter le sable comme barrière de défense et planter des oyats le plus vite possible. La nature s'occupera du reste et certainement mieux qu'un bureau d'études. D'ici la fin de l'année elle aura -du reste- toute seule repris ses droits ; aussi pour remettre le sable en ordre il faudra écraser ou arracher ce qui aura poussé... ce qui pourrait encore impliquer compensations... et ainsi de suite. C'est un cercle infernal...
L'océan, lui, travaille nuits et jours et la nature en prend plein la figure.
La priorité est d'Agir rapidement au lieu de palabrer et de monter des usines à gaz inutiles !