Dans ce rapport est explicitement pointé l'impact sur le cordon dunaire qu'aurait un projet d'aménagement portuaire sur le secteur de la Normandelière.
Des passages du rapport de la Chambre Régionale des Comptes
La CA (Communauté d'Agglomération) s’est engagée à intégrer la prise en compte du recul du trait de côte dans le prochain SCOT et dans le PLUIH, dont l’élaboration vient d’être engagée
Recommandation n° 3
Intégrer dans les documents cadre d’aménagement et d’urbanisme (SCOT et PLUIH) une stratégie d’adaptation au recul du trait de côte, conformément aux articles L. 141-13 et L. 151-5 du code de l’urbanisme, en s’appuyant sur les éléments de diagnostic les plus récents. (Pays de Saint Gilles Croix de Vie Agglomération)
Dans la perspective de l’élaboration du futur PLUIH, deux secteurs appellent une attention particulière au regard de l’aléa érosion :
- la corniche de Brétignolles-sur-Mer, sur laquelle l’aléa érosion est réel, bien que plus difficilement évalué; une densification de ce secteur, considéré comme une zone urbaine, contribuerait à accroître les enjeux à proximité d’une zone érosive (aléa identifié comme fort à échéance 2100 sur une partie de la corniche par le PPRL) ;
- sur la même commune, le secteur initialement ciblé pour la réalisation du projet de port de plaisance se situe à proximité d’une zone où l’aléa 2100 est évalué comme fort dans le PPRL ; si celui-ci permet l’implantation d’installations portuaires, de tels aménagements sont susceptibles de fragiliser le cordon dunaire existant
Plusieurs projets d’aménagement de grande ampleur, contestés notamment en raison de leur impact environnemental, ont été récemment arrêtés ou suspendus après de vifs débats au plan local :
- le projet de thalassothérapie envisagé à Saint-Hilaire-de-Riez à proximité de la côte a été abandonné par la commune;
- le projet de port de plaisance envisagé à Brétignolles-sur-Mer, situé en partie en zone d’érosion, abandonné par la communauté d’agglomération en juillet 2021
A LIRE
Réponse de la Communauté d'Agglomération à la recommandation N°3 de la Chambre Régionale des ComptesOn comprend pourquoi les gros aménageurs du coin se sont empressés de construire sur les derniers terrains de bord de mer avant que de nouvelles règles d'urbanisme ne soient imposées sur le littoral de Bretignolles
NOTA
Dernière info du 10 janvier 2024 : à la date de ce jour, l'audience de la CAA n'est pas programmée jusqu'à la date du 19 janvier 2024. Il faudra encore patienter, encore attendre pour que l'estran du secteur de la Normandelière soit classé espace remarquable et que tout projet de port de plaisance de la municipalité de Bretignolles soit rendu définitivement impossible. L'attente profite à la bande à Christophe Chabot, pas aux opposants.
Lire l'article du blog du 10 février 2021 : Erosion du littoral Bretignollais : pas de risque pour les plages du Sud !
La municipalité de Bretignolles n'a pas tenu compte des projections en terme d'érosion présentées dans le PPRL du Pays de Monts (sans projet de port de plaisance à la Normandelière), a éliminé tout risque d'érosion sur les plages allant du Marais-Girard jusqu'au Havre de la Gachère, pour ne pas empêcher la réalisation d'un projet de port de plaisance sur le site de la Normandelière/
Ouest-France du 22 décembre 2023. Érosion côtière : dans le Pays de Saint-Gilles, la nécessité d’une « recomposition spatiale »
Oui mais Chabot lui "il y connaît rien"...
RépondreSupprimerPour le port, ok, c'est plié. Mais ne lâchons rien jusqu'au classement de la zône.
RépondreSupprimerPour le reste, On l'avait bien compris. Il y avait urgence pour les promoteurs-bétonneurs à fourguer les dernières dents creuses ente la Parée et la Normandelière.
l’avenue de la Grande Roche à Bretignolles-sur-Mer, voie communale (côtes soumises à un aléa érosion fort en 2100 selon le PPRL) ;
Supprimerluttons contre le sentiment d'érosion
Supprimeril faudra peut être envisager un retrait stratégique
Supprimersur la rue du mauvais trait ... de côte
Tous bonimenteurs, élus et promoteurs. Il va falloir leur faire manger la poussière, ou du sable la tête sous l'eau. Et le comble c'est qu'il y a toujours des gens pour rentrer dans leurs combines, qui viendront ensuite pleurer et réclamer des dédommagements à la collectivité qui les aura mis dans un mauvais pétrin.
RépondreSupprimeron va voir comme avec un metre d'eau en plus le "port" des mouettes et des becs va pris en compte dans la stratégie municipale
RépondreSupprimeron s'amuse de l'impact financier insoutenable alors qu'il suffit de cesser de surtaxer pour baisser drastiquement les recettes inutiles sur ces bâtiments voués à la destruction dans les 50 ans
RépondreSupprimerComme a son habitude de la part du chat botté " un article dans ouest France sur son club de foot"
RépondreSupprimerla veille d un jugement important pour influencer la décision de la commission
pauvre garçon
dans l'o f du jour le chabot s'inquiète de son "IMAGE" aucune honte ce type
RépondreSupprimerJe viens de lire l'article.
SupprimerDu Chabot dans le texte : " Vu que nous montons, nous sommes quand même très surveillés sur le plan financier. On ne peut pas faire ce que l’on veut."
Autrement dit, s'il n'était pas surveillé , bèè ....