Bonjour et Merci pour votre soutien. Le projet de port de plaisance de Bretignolles-sur-Mer étant définitivement abandonné depuis le 22 juillet 2021, nous suivrons désormais l'actualité jusqu'à la préservation définitive du site de la Normandelière et nous surveillerons particulièrement le comportement de la bande à Christophe Chabot. Pas de petit port à flot communal à la Normandelière.

09 avril 2024

Normandelière et Christophe Chabot : carton rouge pour le chef de bande !

Ouest-France du 9 avril 2024. Le District calme les ardeurs de Chabot

Christophe Chabot, le chef de bande, est, une nouvelle fois, humilié publiquement. Son projet Vendée Football Club a du plomb dans l'aile, il est bien seul à le soutenir.

TV Vendée du 25 avril 2024. Le Vendée Football Club continue de diviser

C'est un nouveau revers s'ajoutant à une longue série 

- voir les articles du blog du 18 mai 2016Christophe Chabot, le mauvais perdant ! et du 27 mai 2016 les malheurs de Christophe Chabot

- voir l'article du blog du 11 juillet 2020 : Port Bretignolles : la fin d’un long cauchemar. Le débarquement de Christophe Chabot de la présidence de la communauté de communes du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie : un grand moment pour nous, une terrible humiliation pour le chef de bande

- voir l'article du blog du 23 juillet 2021Port Bretignolles coulé : une grande victoire des opposants. L'abandon du projet phare porté par Christophe Chabot et une dette de près de 10 millions d'euros laissée par le chef de bande.

Extrait de Ouest-France du 9 avril 2024. "Avec tous les messages qui lui sont passés"

Aujourd'hui, le chef de bande ne fait plus peur, se retrouve bien seul abandonné par les élus et par le monde du football

Que va faire le chef de bande ?
Comme d'habitude il va abandonner son projet Vendée Football Club et il va rejeter la responsabilité sur les autres en les accusant de trahison
Peut-être ira-t-il même jusqu'à démissionner de la présidence de la Roche VF en préparant un autre challenge de chef de bande ?


Lire la suite dans Plus d'Infos

Sans-Culotte 85 de Avril 2024 - A acheter absolument

Etat de la plage de la Normandelière le 9 avril 2024 

Dans 10 ans, la moitié des plaisanciers ne navigueront plus

Christophe Chabot, la mégalomanie jusqu'où ?

Frédéric Fouquet s'oppose au budget du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie

Une du Sans-Culotte 85 de Avril 2024 - A acheter absolument

Carton Rouge à la Cabane de Brem-sur-Mer, à la justice, aux élus locaux et aux services de l'Etat qui laissent faire








"Faut-il encore attendre 20 ou 25 ans pour une place dans certains ports ?
C’est très différent selon les façades maritimes. En Manche et dans quelques ports sur la façade Atlantique, certains ports ont des places libres. Nous avons remarqué que les plaisanciers s’inscrivent sur des listes dans plusieurs ports, dans un rayon d’environ 40 à 50 kilomètres autour de leur domicile. Nous avons aussi noté que pour un plaisancier qui accepte une place quand vient son tour, 3 ou 4 ont refusé avant. Enfin, avec la généralisation des listes d’attente payantes (à l’inscription ou chaque année), elles ont fondu.
Les nouveaux plaisanciers sont-ils différents des autres ?
Oui, notamment en ce qui concerne la taille de leur bateau. Ceux âgés qui ne navigueront plus dans quelques années ont souvent des bateaux allant de 6 à 10 mètres. Les nouveaux arrivants ont des envies de bateaux plus grands, plus larges. Cela représente un enjeu pour les gestionnaires de ports. Imaginons un port avec 600 places : dans quelques années, il n’en n’aura peut-être plus que 500.
Ces nouveaux plaisanciers ont-ils aussi d’autres attentes ?
Oui, ils ont des attentes de services beaucoup plus importantes : de l’entretien de bateau, de conciergerie, mais aussi d’une place en port à sec (par opposition à une place à un ponton).
En quoi cela pose-t-il un défi ?
Ce n’est pas le même prix à sec (moins cher qu’au ponton), alors quand on sait qu’un bateau navigue environ 10 à 11 jours par an… Mais pour les gestionnaires de port, cela pose un sacré défi, car le foncier est une contrainte majeure. Les ports ne peuvent pas s’agrandir. Notamment les ports bretons, qui sont enserrés dans les villes. C’est ce qui en fait des lieux de vies, c’est ce que les gens aiment."

Commentaire : le projet de port de plaisance communal de Frédéric Fouquet aurait tout d'un désastre économique en plus d'un désastre environnemental


Ouest-France du 15 avril 2024« On est au bout du modèle » : le président de La Roche VF défend le changement de nom du club

Christophe Chabot c'est toujours les mêmes méthodes, des projets démesurés mais avec l'argent des autres, jamais le sien 
Il y a eu le projet de reprise du FC de Nantes en 2012 qui devait fédérer de nombreux investisseurs du Pays de Loire qu'il n'avait pas !
Il y a eu le projet de port de plaisance de Bretignolles qui a pompé près de 10 millions d'euros dans les caisses des collectivités locales
Et désormais il y a le projet de Vendée FC qui devrait agréger 300 partenaires financiers vendéens !!! Encore un coup de bluff
Quel mépris pour tous les autres clubs vendéens. Il faudrait que tous les partenaires financiers vendéens qui s'intéressent au football participent au développement unique du projet de Christophe Chabot au détriment de tous les autres clubs vendéens.
Ce serait un désastre économique pour le football vendéen et on comprend pourquoi les autres clubs vendéens ne sont pas d'accord sur la méthode : dépouiller le football vendéen pour enrichir le Vendée FC !!!
Pourquoi Christophe Chabot qui a fait fortune dans les vérandas ne ferait-il pas comme Waldemar Kita et ne deviendrait-il pas le sponsor unique de son club de football ? Une masse salariale de 1 000 000 d'euros, c'est que dalle pour lui.
Avec Christophe Chabot, ses projets dans le football se terminent toujours mal, il en sera de même avec celui-là.


Frédéric Fouquet s'oppose au budget du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie
"On a énormément d’incertitudes, par exemple sur le budget Défense contre la mer. On va devoir sortir des sommes considérables pour protéger nos côtes, on n’est pas assez prudent  , a renchéri Frédéric Fouquet."
A Bretignolles, Frédéric Fouquet est d'une grande prudence, il ne met pas en danger les finances de la commune en proposant un projet de port de plaisance communal sur le secteur de la Normandelière et ne met pas en danger la protection de ses côtes en proposant de trouer le cordon dunaire !!!
C'est beau la politique ! On peut dire n'importe quoi pour capter l'attention des électeurs et ça marche
Ce qui se joue actuellement au Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, ce sont les élections municipales de 2026 où Frédéric Fouquet et Laurent Boudelier veulent leur revanche et se positionnent comme la seule alternative politique. Ils savent que les habitants du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie sont très sensibles à tout ce qui touche leur porte-monnaie et ciblent donc les augmentations d'impôts décidées au niveau de la communauté d'agglomération et les dépenses inconsidérées.
François Blanchet et Kathia Viel sont en danger, c'est une certitude mais ils ne semblent pas s'en rendre compte !

10 commentaires:

  1. Christophe Chabot n'apprend pas de ses erreurs passées.
    Il a fait capoter à lui seul le projet de port, qui aurait peut être vu le jour s'il avait été porté par un élu plus consensuel (ou plus malin...). Il a fait un mauvais calcul en laissant sa place de maire et en se faisant éjecter de la présidence de la CdC. Sa méthode de cavalier seul et de passage en force est d'un autre temps mais il n'a pas la lucidité pour s'en rendre compte... Pire, il persiste avec cette nouvelle lubie, comme pour faire oublier son fiasco à Brétignolles mais le constat est le même.
    Christophe Chabot est un homme d'un autre temps qui n'a pas su évoluer et comprendre comment mener des projets et faire de la politique post covid. Ses idées peuvent parfois etre bonnes (faire émerger un club compétitif en vendée) mais sa méthode et sa propension à vouloir toujours se mettre en avant et c'est bien la son principal défaut, il ne comprend pas que sa propre personne est le principal frein à ses projets...
    Comme cet homme n'aime pas qu'on lui dise non et se retrouver en situation d'échec et d'humiliation publique comme c'est encore le cas ici, attendez vous à des remous...impossible que ça en reste la !!!

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    1. Le récidiviste incorrigible : taclé par Pipet, taclé par Kita, taclé par Blanchet, taclé par Gazeau.
      "Le temps ne fait rien à l'affaire,
      Quand on est .... on est ..... "

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  2. " Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnait. " Michel Audiard

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  3. on peut parler de foot du marais de brem mais bon ...
    il y a une marée toutes les six heures
    même en avril

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  4. D'où tire-t-il son argent ? De collectivités locales dont il fait des pompes à fric ! Petites mises, corruptions, complicités, pour gros gains personnels espérés.

    C'est sur le système de ce bandit qu'un journaliste devrait enfin enquêter.

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  5. ce type devrait être incarcéré depuis quelques années déjà... ou pour le moins mis en examen , par rapport aux abus de biens sociaux, quand on pique dans la caisse des communes ou collectivités au seul profit d 'un ego démesuré. Y en a qui braque des commerces ou autres ( qui eux, sont en tôle et que je n 'apprécie pas non plus .) pour des sommes trés trés inferieures a ce qu'il a jeté par la fenêtre , ou dans sa tire lire (ou la tire lire de ses potes) , et là : il se croit encore le roi du monde , ce pourri . On voit bien que ce n’était pas son argent . A quand une action en justice ??? les journalistes doivent aussi co-opérer, et on y arrivera ! et alors le p'tit Fouquet comprendra ce que veut dire le mot "complicité" et comme il n'a pas de cou---es , il ira chier dans son froc , et arrêtera le circus Chabot et son port !

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    1. Pas nécessaire d'être grossier, cher anonyme, même si on n'en pense pas moins

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    2. oui... je sais : les mots " pourri " , cou.." et "ch . dans son froc" sont grossiers . mais je ne les retire pas : j'emploie simplement des mots que eux emploient sans les nommer explicitement , car eux , les Chabot, Fouquet et autres crapules emploient ces mots " enrobes de politiquement correct " , mais moi j'y arrive pas . J' appelle un chat un chat , comme dit la formule. j'emploie donc leur langage , qu'ils emploient depuis 15 ans , pour enfumer tout le monde .. mais moi et mes amis , on n'est pas dupes : " En tôle tous ces pourris " , qui ont foutus en l'air des millions d' Euros !! pour rien ! je persiste et signe :
      y faut une action en justice pour ces "pourris" de Bretignolles !!!
      ( même si c'est grossier , car c'est le langage qu'ils emploient depuis 15 ans et plus)

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  6. Après la bataille du sable, jaune, voilà la bataille du gazon, vert, vite des hermines blanches et des cartons rouges ! Pendant ce temps, à nos pelles, à nos brouettes, reconstruisons la dune !

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  7. Brétignollais de Brétignolles18 avril, 2024 12:54

    "On va devoir sortir des sommes considérables pour protéger nos côtes, on n’est pas assez prudent" , a renchéri Frédéric Fouquet. FF est un faux jeton ! Comment peut-on être aussi grossièrement malhonnête en tenant de tels propos ? On ne peut pas dire tout et son contraire, et pire : faire son contraire. Un projet de port à Brétignolles a été une gabegie financière depuis les premiers jours de la naissance de cette idée. La municipalité, les élus locaux et autres soutiens, auraient pu être et devraient encore être prudents quant à la poursuite de leur funeste projet obsessionnel qui leur mite le cerveau, et dont tout, dans cette affaire, s’est aggravé et ne fait qu’empirer au fil du temps en matière d’infaisabilité, de danger, et de niveau d’inconséquence humaine.
    Vouloir faire entrer la mer dans les terres est une mise en danger de la vie d’autrui, M. le maire ! Ne l’avez-vous pas encore compris ?????? Les sommes considérables doivent être utilisées à la protection des habitants contre la mer qui, elle, ne vous a pas attendu pour rentrer toute seule dans les terres qu’elle ronge plus vite que vous ne l’aviez même pas imaginé dans votre toute petite tête !!!
    Alors arrêtez de mettre des bâtons dans les roues d’un fonctionnement de bon sens ! Quand on est maire d’une commune littorale par les temps qui courent on doit avoir un comportement, un jugement, un esprit citoyen responsable, et non tirer la charrue en sens inverse pour des intérêts personnels fallacieux.

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